Baruch Spinoza (1632-1677)

Doctrines et vies des philosophes illustres

Baruch Spinoza. Source : Wikimedia Commons

Éléments biographiques

Spinoza naît en 1632 à Amsterdam, dans une famille juive d’origine portugaise, ayant fui l’Inquisition pratiquée dans la péninsule ibérique autour du XVe siècle. À l’époque, la Hollande est l’un des pays les plus tolérants d’Europe, malgré des querelles religieuses et des conflits entre monarchistes et républicains. Il étudie très tôt les textes bibliques, ainsi que la philosophie avec notamment Maïmonide. Il apprend le latin, la langue utilisée dans les ouvrages de Galilée et de Descartes, avec un jésuite, Franciscus van den Enden.

Le 27 juillet 1656, Spinoza, âgé de 23 ans, est frappé par un herem, équivalent à une excommunication. Cette condamnation, prononcée par les autorités religieuses, l’exclut à vie de la communauté juive. Les motifs de l’exclusion sont multiples, à la fois religieux, politiques et juridiques. Les thèses défendues par Spinoza mettent en cause les dogmes issus des Écritures, et sont favorables aux idées républicaines.

Il mène ensuite une vie simple, sans être ascétique, et travaille comme polisseur de lentilles. Il continue en parallèle la rédaction de plusieurs ouvrages. Seuls les Principes de la philosophie de Descartes et le Traité théologico-politique seront publiés de son vivant. L’Éthique, son œuvre majeure, sera achevée peu de temps avant sa mort, mais sa publication sera posthume. Le 21 février 1677, Spinoza meurt d’une affection pulmonaire à La Haye. Il est âgé de 44 ans. La veille, il a fait venir Louis Meyer, son médecin, éditeur et ami, pour mettre en ordre ses manuscrits et lui faire son ultime recommandation : publier l’Éthique sans mentionner le nom de l’auteur. Le système philosophique de Spinoza peut ainsi être légué à la postérité.

Éléments de doctrine

[Le] sage […] conscient de lui-même, de Dieu et des choses, ne cesse jamais d’être, mais possède toujours la vraie satisfaction de l’âme. Spinoza, Éthique, V, 42, scolie.

Conscience de Soi

Qu’est-ce que l’homme ? Pour Spinoza, le plus souvent c’est un ignorant. Il ignore jusqu’à sa propre nature. Il est inconscient des causes réelles qui le déterminent à agir. Il croit fermement à tous les préjugés qu’il a assimilés au travers de l’éducation et de la religion telle qu’elle est enseignée par d’autres hommes, ignorant eux-mêmes la nature véritable du dieu qu’ils font respecter au moyen de la crainte.

Parfois, c’est un sage. Il sait que le salut réside dans la connaissance. C’est dans le pouvoir de connaître et de comprendre que résident la vertu et la béatitude. Le sage sait que l’équation spinoziste de la nature humaine est : 1 + 1 = 1. Le corps et l’âme sont une seule et même chose : l’âme est l’idée du corps. L’homme est lui-même une partie de la substance unique qui englobe la totalité de ce qui existe. Il n’y a en réalité qu’une seule substance, comme nous le verrons ci-dessous. Le libre arbitre n’est qu’une illusion : l’homme croit agir selon sa propre volonté, mais il ignore que tout est déterminé. Le sage sait ce qui peut le faire succomber à ses passions, et ainsi il peut s’en détacher. Il sait enfin que la vérité est dans la raison et non dans l’imagination et les fictions utilisées par les hommes pour expliquer la Nature, y compris Dieu, à partir d’eux seuls. L’homme n’est pas un empire dans un empire.

Il y a trois genres de connaissances :

  • Premier genre : connaissances qui reposent sur l’opinion et l’imagination ;
  • Deuxième genre : connaissances issues de la raison, de la démonstration ;
  • Troisième genre : connaissances de l’essence des choses, obtenues par la science intuitive.

Le premier genre correspond aux idées inadéquates ou fausses, le second aux idées claires et distinctes, le troisième aux idées adéquates ou vraies.

Conscience de Dieu

Deus sive Natura, Dieu, autrement dit la Nature… Spinoza est-il un philosophe athée, panthéiste, naturaliste, matérialiste, ou bien encore autre chose ? Dieu n’est pas celui que vous croyez, du moins celui dans lequel croient les ignorants évoqués plus haut. Un dieu peut en cacher un autre, enfin pas chez Spinoza. Dieu, Nature, Univers, Totalité, Être suprême : il n’y a qu’une seule et unique substance qui soit, quel que soit le nom que l’on veuille lui donner.

Les conséquences liées à cette conception d’une substance unique, Dieu, autrement dit la Nature, sont considérables. Elle est la seule chose qui existe par elle-même, tout le reste est fait de déclinaisons, que Spinoza appelle modes : l’homme est un mode fini de la substance unique, qui elle est infinie. En clair, l’homme n’est qu’une partie du tout, ce qui anéantit la vision anthropocentrique du monde et anthropomorphique d’un dieu. L’homme n’est pas le centre de l’Univers, comme l’affirme implicitement Galilée de son côté, en retirant à la Terre sa place centrale dans le Système solaire. Dieu n’est pas à l’image de l’homme, comme l’affirment en miroir ceux qui interprètent les textes bibliques. Les attributs de la substance unique, c’est-à-dire ses propriétés, sont en nombre infini, mais nous n’en percevons que deux : l’étendue et la pensée. Chez l’être humain, le corps est un mode fini de l’étendue, et l’âme un mode fini de la pensée. Le corps et l’âme sont pourtant bien par essence une seule et même chose puisqu’ils sont des parties de la substance unique.

La substance unique est infinie et éternelle. L’Univers n’a donc ni commencement ni fin, ce qui va à l’encontre de la croyance dans une création du monde, qui plus est par un dieu qui lui serait extérieur. Si Dieu, comme seule substance existante en soi, est la Nature, il n’y a pas d’autre monde possible, et surtout il n’y a pas de différence entre lui et le monde. Dieu est la cause de toute chose. Il est cause immanente, puisque tout se déroule au sein de lui-même comme substance unique. Il n’est pas cause transitive, agissant sur un objet autre que lui-même : Dieu n’a pas créé le monde puisqu’il est le monde en lui-même. Et puisqu’il est cause de toutes choses, il est le seul à être libre. Les actions des hommes sont déterminées par des causes qui ne dépendent pas de leur volonté : le libre arbitre n’existe pas.

Il est aisé de comprendre en quoi Spinoza a pu scandaliser les religieux judéo-chrétiens. Dieu est un et indivisible : ceci exclut le polythéisme ainsi que l’hypothèse de La Trinité (Père, Fils, Saint-Esprit). Il n’est pas créateur du monde : il est ce monde, qui existe éternellement, sans commencement ni fin. Il n’est pas semblable à l’homme : ce dernier n’est qu’un mode de la substance parmi d’autres. Il n’est pas transcendant : il est, lui-même comme tous les êtres et toutes les choses qu’il contient, en lui-même.

Conscience du Monde

Qu’est-ce qui fait bouger le monde, les choses, les êtres ou soi-même ? Cette force, commune à tout ce qui existe au sein de la substance unique, c’est le Conatus. Spinoza le définit comme “l’effort par lequel chaque chose s’efforce de persévérer dans son être”. C’est à la fois un instinct de conservation et une puissance qui se développe dans toute chose. Chez l’être humain, il se traduit, selon qu’il est plus ou moins conscient, par la volonté, le désir, ou l’appétit. Mais comme toujours, la plupart en ignorent la cause, et ainsi nous ne désirons pas une chose parce que nous jugeons qu’elle est bonne, mais nous jugeons qu’elle est bonne parce que nous la désirons. Soumis à nos passions, nous faisons le pire même si nous voyons le meilleur.

Si nous réduisons le monde aux humains, c’est la confrontation entre la philosophie, la religion et la politique qui va amener Spinoza à affirmer la liberté de penser, de dire, et donc de philosopher. Le salut de l’individu est dans la compréhension de soi, de Dieu et du monde par la connaissance et au moyen de la raison. Il en va de même pour la communauté humaine. Les mécanismes sont identiques : les passions soumettent l’individu ; les théologiens et les politiques soumettent le peuple par la crainte et les préjugés. Spinoza est plus proche de la démocratie républicaine que de la monarchie absolue de droit divin. Mais les Lumières ne se sont pas encore allumées et il faudra attendre un peu plus d’un siècle pour qu’une Révolution éclate dans un pays voisin.

Histoires particulières

Avant Spinoza

Deux grandes philosophies, antérieures à Spinoza, se confrontent et se confortent à la fois avec les différents concepts de soi, de Dieu et du monde : celle d’Aristote, le plus lointain temporellement, et celle de Descartes, inversée et pourtant similaire, comme peut l’être la réflexion dans un miroir.

Aristote

Le Dieu d’Aristote est le moteur immobile qui met le monde en mouvement. Il est donc à la fois la cause suprême de tout ce qui est et de ce qui devient, en passant de la puissance à l’acte. Et, à la fois, il diffère de toutes ces substances qui composent le monde. Il n’y a donc pas ici la substance unique de Spinoza. Le dieu aristotélicien est aussi acte pur : rien ne le précède, car il est éternel par essence. Il est Pensée de la pensée : rien d’autre que lui-même ne le pense. Ces points sont communs avec la conception spinoziste d’un dieu sans commencement ni fin, et ayant l’attribut de la pensée en lui-même.

Tous les humains ont par nature le désir de savoir, Aristote, Métaphysique, 980a.

Spinoza fonde également l’essence de l’homme sur la nécessité de la connaissance : le savoir et la raison permettent à l’être humain de se réaliser, de persévérer dans son être Aristote et Spinoza considèrent tous deux que l’homme a en lui une présence divine.

Tous les êtres ont naturellement en eux quelque chose de divin. Aristote, Éthique à Nicomaque, 1153b.

Mais cette présence n’est que partielle chez Aristote, puisque le divin ne se retrouve que dans la partie purement rationnelle de l’âme. Le philosophe antique distingue le corps de l’âme, contrairement au monisme affirmé par Spinoza. Le bonheur pour le Stagirite et la Béatitude pour l’auteur de l’Éthique, sont les deux formes suprêmes de la vertu.

[Le] bien pour l’homme consiste dans une activité de l’âme en accord avec la vertu […] et cela dans une vie accomplie jusqu’à son terme. Ibid., 1098a.

Aristote voit le bonheur se construire au travers du temps, de la pratique et de l’habitude prise d’être vertueux. Spinoza envisage le sage entrant dans l’éternité dès qu’il prend conscience de lui-même, de Dieu et des choses.

La politique occupe une place majeure chez les deux penseurs, qui considèrent l’homme comme fait naturellement pour vivre en société.

Il est manifeste […] que la cité fait partie des choses naturelles, et que l’homme est par nature un animal politique. Aristote, Les Politiques, 1253a.

Descartes

La relation de Spinoza avec Descartes ressemble un peu à celle d’un adolescent rebelle envers ses parents trop nuls. Trente-six ans les séparent, mais ce n’est pas là leur plus grand écart. Le philosophe hollandais traduit les Principes philosophiques, initialement écrits par l’auteur du Cogito. Il est aussi marqué par les Méditations métaphysiques de Descartes.

Ils s’accordent tous deux sur l’influence néfaste des préjugés, et sur les voies certaines de la connaissance de la vérité.

[Dans] le droit chemin de la vérité, on ne doit s’occuper d’aucun objet sur lequel on ne puisse avoir une certitude aussi grande que celle des démonstrations de l’Arithmétique et de la Géométrie. Descartes, Règles pour la direction de l’esprit, II.

Spinoza construit ainsi l’Éthique sur le modèle d’une démonstration géométrique, avec des définitions, des axiomes, des propositions, etc. Pourtant, le Hollandais a le cartésianisme contrariant ou contrarié. Les deux philosophes se rejoignent en apparence sur des notions majeures : la clarté et la distinction, la pensée et l’étendue.

[Parce] que d’un côté j’ai une claire et distincte idée de moi-même, en tant que je suis seulement une chose qui pense et non étendue, et que d’un autre j’ai une idée distincte du corps, en tant qu’il est seulement une chose étendue et qui ne pense point, il est certain que ce moi, c’est-à-dire mon âme, par laquelle je suis ce que je suis, est entièrement et véritablement distincte de mon corps, et qu’elle peut être ou exister sans lui. Descartes, Méditations métaphysiques, VI.

Si les critères de clarté et de distinction sont conservés, le dualisme cartésien corps/âme subit la coupe stricte du monisme spinoziste : corps et âme ne font qu’un, et ne sont que des modes finis de la substance unique qu’est Dieu. Spinoza fait une critique acerbe de l’hypothèse cartésienne de la glande pinéale, censée garantir l’union des deux substances corporelle et spirituelle.

La liberté de penser, défendue avec tant d’ardeur par Spinoza, ne supporte pas l’idée d’un libre arbitre, tel que Descartes l’affirme.

Que la principale perfection de l’homme est d’avoir un libre arbitre, et que c’est ce qui le rend digne de louange ou de blâme. […] On doit nous attribuer quelque chose de plus, de ce que nous choisissons ce qui est vrai, lorsque nous le distinguons d’avec le faux, par une détermination de notre volonté, que si nous y étions déterminés et contraints par un principe étranger. Descartes, Principes de la philosophie, I, 37.

Pour Spinoza, nous sommes entièrement déterminés. Même Dieu n’est pas pleinement libre. La véritable liberté consiste à connaître les contraintes qui nous déterminent, et non à croire à une liberté d’indifférence qui nous octroierait la capacité de choisir volontairement ce que nous considérons comme mauvais.

Après Spinoza

L’importance de l’œuvre de Spinoza est soulignée de façons assez différentes. Il est un philosophe incontournable, au propre comme, sans doute, au figuré. En voici quelques exemples.

Je ne connais que Spinoza qui ait bien raisonné mais personne ne peut le lire. Voltaire, Lettre à d’Alembert.

Spinoza est un point crucial dans la philosophie moderne. L’alternative est : Spinoza ou pas de philosophie. Hegel, Philosophie de l’Histoire.

[Tout] philosophe a deux philosophies : la sienne et celle de Spinoza. Henri Bergson, Lettre à Léon Brunschvicg, 22 février 1927.

Spinoza pourrait être aussi classé comme un philosophe qui renverse les idoles, au vu du portrait qu’il dresse d’un dieu loin de ressembler à celui des prêtres de son époque. La filiation avec les philosophes du soupçon semble effective. Nietzsche philosophe à coups de marteau en dénonçant les prêtres ascétiques et leurs “niaiseries thérapeutiques” [Généalogie de la morale, I.].

Je suis étonné, ravi ! J’ai un précurseur et quel précurseur ! Je ne connaissais presque pas Spinoza. […] Ce n’est pas seulement que sa tendance globale soit la même que la mienne : faire de la connaissance, l’affect le plus puissant – en cinq points capitaux je me retrouve dans sa doctrine ; sur ces choses ce penseur, le plus anormal et le plus solitaire qui soit, m’est vraiment très proche : il nie l’existence de la liberté de la volonté ; des fins ; de l’ordre moral ; du non-égoïste ; du Mal […]. Friedrich Nietzsche, Lettre à Franz Overbeck, 30 juillet 1881.

Freud, autre philosophe du soupçon, affirme que “le moi n’est pas maître en sa propre maison” [Essais de psychanalyse appliquée.]. Spinoza avait auparavant délogé le “Je” du Cogito de Descartes, en fusionnant corps et âme, et en les replaçant dans la substance unique.

J’avoue volontiers ma dépendance à l’égard des enseignements de Spinoza. Si je n’ai jamais pris la peine de citer directement son nom, c’est que je n’ai pas tiré mes présupposés de l’étude de cet auteur mais de l’atmosphère créée par lui. Et parce que je n’avais rien à faire d’une légitimation philosophique. Sigmund Freud, Lettre à Lothar Bickel, 28 juin 1931.

Le dernier témoignage est celui d’un physicien qui ne cache pas son intérêt pour la métaphysique. Einstein aurait prononcé la phrase “Dieu ne joue pas aux dés” pour signifier que la Nature n’obéissait pas au hasard. Tout est déterminé, et l’homme n’est qu’une modeste partie de l’infini de l’Univers.

Je crois au Dieu de Spinoza, lequel se révèle dans l’harmonie ordonnée de ce qui existe, non en un Dieu qui se soucie de la destinée et des actions des êtres humains. Albert Einstein, Télégramme au rabbin Herbert Goldstein, avril 1929.

Bibliographie

SPINOZA B., L’Éthique, Paris, Gallimard, Collection Folio Essais, 1954.

SPINOZA B., Traité théologico-politique, Paris, GF Flammarion, 1965.

ARISTOTE, Éthique à Nicomaque, traduit par Jules Tricot, Paris, Vrin, 1990.

ARISTOTE, Œuvres complètes, sous la direction de Pierre Pellegrin, Paris, Flammarion, 2014.

BRÉHIER E., Histoire de la philosophie, Paris, PUF, 2e édition “Quadrige”, 2012.

DESCARTES R., Discours de la méthode, Paris, Le Livre de Poche, 2000.

DESCARTES R., Méditations métaphysiques : Objections et Réponses, Paris, Flammarion, 1992, édition revue et corrigée 2011.

DESCARTES R., Principes de la philosophie, édition électronique disponible sur le site philotextes.info.

DESCARTES R., Règles pour la direction de l’esprit, Paris, Vrin, 2003.

LALANDE A., Vocabulaire technique et critique de la philosophie, Paris, PUF, 3e édition “Quadrige”, 2010.

FOLSCHEID D., Les grandes philosophies, Paris, PUF, Que sais-je ?, 9e édition, 2017.

GODIN C., La Philosophie pour les nuls, Paris, First Éditions, 2010.

JAFFRO L., LABRUNE M., Gradus philosophique, Paris, Flammarion, 4e édition, 1996.

MORFAUX L.-M., LEFRANC J., Vocabulaire de la philosophie et des sciences humaines, Paris, Armand Colin, 2014.

ROSENBERG P., La Philosophie – Retenir l’essentiel, Paris, Nathan, 2011.

Voir aussi


Retrouvez dix œuvres philosophiques majeures, dans les tomes 1 et 2 des Fiches de lecture de Philosophie ! (Cliquer sur l’image pour découvrir l’ouvrage)

Platon, Apologie de Socrate
Aristote, Éthique à Nicomaque
Épicure, Lettre à Ménécée
Arrien, Le « Manuel » d’Épictète
Descartes, Discours de la méthode

Spinoza, L’Éthique
Kant, Fondements de la métaphysique des mœurs
Nietzsche, Ecce Homo
Bergson, L’Évolution créatrice
Sartre, L’existentialisme est un humanisme

Découvrez aussi mes autres ouvrages :

Nous n'aurons pas le Temps - Éditions du Net
Syndrome du Funambule - Édition du Net

Bac Philo :

Carnet de vocabulaire philosophique : Conatus, Dualisme, Immanent, Monisme, Nature Naturante et Naturée, Transcendant.

Doctrines et vies des philosophes illustres : Aristote, Descartes, Nietzsche.

Fiches de lecture : Spinoza, L’Éthique.

Notes contemplatives de lecture : Bergson, L’Intuition philosophique [La Pensée et le Mouvant, Chapitre IV].

Entendre aussi

France Culture, Podcasts des Chemins de la Philosophie :


Dsirmtcom, avril 2022.

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